Rejet des amendements du RSI de l’OMS

Le texte ci-dessous est une traduction d’une critique des amendements aux Règlements Sanitaires Internationaux (RSI) de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) de juin 2024, soulevant des préoccupations majeures. L’auteur, James Roguski, présente 23 raisons de refuser ces amendements. Chaque état a jusqu’au 19 juillet pour le faire. Certains états l’ont déjà fait en 2023, dont les Pays Bas, mais je doute que la Belgique le fasse vu son inféodation à l’OMS.

Pour pouvoir vous faire une idée personnelle du bien-fondé des arguments, le texte complet du RSI amendé est consultable ici.

Voici les principaux arguments procéduraux et substantiels soulevés contre les amendements de 2024 au Règlement Sanitaire International (RSI) (2005), basés sur les sources fournies :

Arguments Procéduraux Majeurs :

Non-respect du délai de l’Article 55.2 du RSI

L’Article 55.2 stipule que le texte de tout amendement proposé doit être communiqué à tous les États Parties par le Directeur Général au moins quatre mois avant l’Assemblée Mondiale de la Santé où il est proposé pour examen

Le Comité d’examen du RSI avait clairement indiqué que le Groupe de travail (WGIHR) soumettrait le texte final des amendements proposés au Directeur Général en janvier 2024, afin qu’il soit communiqué aux États Parties conformément à l’Article 55.2

Cela signifiait qu’une proposition d’amendement consolidée aurait dû être communiquée au plus tard le 27 janvier 2024

Ceci ne s’est PAS produit

Faute de préavis suffisant, les amendements n’auraient même PAS dû être examinés par la 77ème Assemblée Mondiale de la Santé

Le 27 mars 2024, deux mois après le délai, un document a été mis à jour pour inclure des propositions du Japon datant de septembre 2022, qui étaient restées secrètes pendant 18 mois

Le 17 avril 2024, l’OMS a publié une nouvelle version consolidée qui différait considérablement du projet de 2022 et contenait des dispositions entièrement nouvelles qui n’avaient pas été communiquées avant le 27 janvier 2024

Ces textes étaient entièrement nouveaux et n’auraient PAS pu être formellement communiqués le 16 novembre 2022, contrairement à ce qu’avait affirmé le Directeur Général de l’OMS

Le 27 mai 2024, un nouveau projet a été publié par le Directeur Général, contenant à nouveau de nombreux changements qui ne figuraient pas dans la version du 17 avril 2024

Fausse déclaration frauduleuse concernant l’Article 44bis

Le document présenté et adopté le 1er juin 2024 comprenait l’Article 44bis

Cependant, AUCUN DES DOCUMENTS PRÉCÉDEMMENT PUBLIÉS NE CONTENAIT L’ARTICLE 44bis

Les amendements ajoutant du texte au RSI sont censés être présentés en texte gras

L’Article 44bis, qui est un article entièrement nouveau, a été présenté en texte normal, donnant l’impression qu’il faisait partie du RSI existant

Cette « erreur » n’a jamais été signalée ni reconnue

Le « vote par consensus » a été mené sur la base d’un document qui laissait croire que le NOUVEL Article 44bis faisait partie du RSI existant

Arguments Substantiels Majeurs :

Violation de la Constitution de l’OMS en incluant une fonction de financement dans le RSI

Le Comité d’examen du RSI a noté qu’en vertu de l’Article 44, l’OMS a déjà un rôle, en collaboration avec les États Parties, pour mobiliser des ressources financières

Le Comité a mis en garde contre la création d’une fonction de financement explicite pour l’OMS en vertu du Règlement

La Constitution de l’OMS mentionne l’assistance technique et l’aide d’urgence sur demande des gouvernements, et l’action d’urgence dans la limite des fonctions et ressources financières

Problèmes liés à l’Article 44bis (Mécanisme Financier de Coordination)

Les détails du « Mécanisme Financier de Coordination » ne sont pas définis

Il habilite des bureaucrates futurs non élus, irresponsables et inconnus à contrôler le « Mécanisme »

Le coût n’est pas déterminé

Il n’exige pas une transparence totale ni une piste d’audit publique complète

Il ne garantit pas la prévention des conflits d’intérêts

Le public n’aura aucun contrôle sur qui reçoit l’argent et comment il est dépensé, sans moyen de déterminer si les dépenses ont été bénéfiques

Il est susceptible de permettre à des courtiers non élus au sein de l’élite financière d’influencer et de contrôler la manière dont l’argent est fourni et utilisé, perçu comme une couverture pour l’expansion de leur richesse plutôt que pour l’amélioration de la santé

La capacité de « mobiliser des contributions monétaires volontaires pour des organisations » est considérée comme un exemple de capitalisme de copinage corrompu

Problèmes liés à l’Article 4 (Autorité Nationale RSI)

La création d’une Autorité Nationale RSI pour coordonner la mise en œuvre et ajuster les arrangements législatifs/administratifs nationaux

Pour les États-Unis, cela viole directement une résolution conjointe du Congrès de 1948 qui stipule que rien dans la Constitution de l’OMS n’engage les États-Unis à adopter un programme législatif spécifique

Ceci est jugé INACCEPTABLE

Problèmes liés à l’Article 1 (Définitions)

La définition de « urgence pandémique » est vague et dénuée de sens, ne servant qu’à inspirer une peur inutile

La définition de « produits de santé pertinents » devrait exclure les thérapies cellulaires et géniques, et ignore les produits naturels tels que les herbes et les produits nutritionnels

Cela est perçu comme garantissant les profits du Complexe Industriel d’Urgence Pharmaceutique Hospitalier (PHEIC) aux dépens de produits naturels plus abordables et sûrs

L’échec à définir les termes « pandémie », « prévention », « préparation », « réponse », « sûr et efficace » et « vaccin » est jugé INACCEPTABLE

Problèmes liés à l’Article 10 (Secret) et Article 43 (Confidentialité)

Permet à l’OMS d’opérer dans le secret en cas d’urgence « lorsque cela est justifié »

L’Article 43 exige que les informations partagées lors des consultations soient confidentielles

Le secret est considéré comme répugnant dans une société ouverte et juste

Problèmes liés à l’Article 12 (Déclaration d’Urgences)

L’autorité de déclarer une « urgence pandémique » est dénuée de sens en raison de la définition inadéquate

Les critères de déclaration des urgences de santé sont devenus plus confus

Donner au Directeur Général l’autorité unilatérale de déclarer une « Urgence Pandémique (PE) » en plus d’une Urgence de Santé Publique de Portée Internationale (USPPI) sans aucune supervision ni contrôle de son pouvoir est jugé INACCEPTABLE

Promotion du Complexe Industriel d’Urgence Pharmaceutique Hospitalier (PHEIC)

L’OMS est perçue comme agissant comme le bras marketing et promotionnel du PHEIC

Les amendements sont vus comme des moyens de soutenir les programmes lucratifs de pré-qualification et de listage pour utilisation d’urgence de l’OMS

La prise en compte du maintien des chaînes d’approvisionnement internationales dans les recommandations est vue comme une tentative déguisée de prendre le contrôle du « Réseau Mondial de Distribution et de Logistique » dans le cadre des négociations de l’Accord Pandémique

L’exigence pour les États Parties de maintenir ou augmenter le financement national pour l’implémentation est vue comme un accord ouvert pour continuer à financer le PHEIC

Violation des libertés fondamentales et de la vie privée

Forcer les opérateurs de transports à appliquer des « mesures sanitaires » et l’autorité d’imposer la quarantaine aux « personnes suspectes qui ne sont pas malades » sont considérés comme des violations abominables du droit fondamental à la liberté

L’exigence de tout type de « document sanitaire » est une violation du droit fondamental à la vie privée

Le fait que les États Parties puissent traiter et divulguer des données personnelles est jugé INACCEPTABLE

Le renforcement des capacités de surveillance nationale risque de violer les droits individuels et est perçu comme une invasion croissante de la vie privée et des libertés fondamentales

La directive de développer la capacité de traiter la désinformation et la mésinformation risque de violer la liberté d’expression

Cette « surveillance » ne devrait concerner que le devoir du gouvernement de fournir des informations précises, et non de censurer le discours public

La possibilité de vacciner quelqu’un « qui ne peut signer » par procuration du tuteur ouvre la voie à d’énormes abus de pouvoir

Bureucratie inutile et coûteuse

La création d’un Comité des États Parties pour la mise en œuvre du RSI et d’un sous-comité pour conseiller sur le Mécanisme Financier est considérée comme une bureaucratie inutile et coûteuse

Admission de problèmes de santé induits par les traitements (« iatrogénie »)

L’amendement sur la poliomyélite (Annexe 2) est vu comme une admission que le poliovirus dérivé de vaccins est devenu un problème de santé mondial auto-induit

La causation iatrogène massive de maladies par les traitements censés les prévenir (« produits de santé liés à la pandémie ») est au cœur des raisons pour lesquelles les amendements sont jugés INACCEPTABLES

En résumé, les arguments contre les amendements portent sur des manquements procéduraux flagrants (non-respect des délais, présentation trompeuse de l’Article 44bis) et de nombreux points substantiels concernant notamment l’attribution d’une fonction de financement à l’OMS, le manque de clarté et de contrôle sur le nouveau mécanisme financier, l’atteinte potentielle à la souveraineté nationale, des définitions vagues, le manque de transparence, l’augmentation unilatérale du pouvoir du Directeur Général, la promotion perçue de l’industrie pharmaceutique, et des violations potentielles des libertés fondamentales et de la vie privée

Il est également noté un manque d’engagement public dans les négociations, tandis que de nombreux lobbyistes d’intérêts particuliers étaient présents

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Sur quel pied danser? Quelles étiquettes choisir?

Depuis plusieurs années déjà, je ressens clairement qu’un changement énorme s’est opéré dans l’expression des gens. L’utilisation massive des réseaux sociaux en est probablement une cause importante.

En effet, grâce ou à cause d’eux, tout le monde se sent obligé se mettre en scène, de se montrer et surtout doit avoir une opinion et doit l’exprimer, et ce le plus rapidement possible. On n’existe plus que par l’intermédiaire de ces media.

Mais aussi, grâce à eux, une très grande liberté s’est développée, permettant du très bon et du très mauvais, comme dans tout ce que l’humain fait. Ces deux composantes existeront toujours et il serait hypocrite de ne pas le reconnaître.

Cependant, une trop grande liberté d’expression terrifie les autorités. On l’a bien vu dans nos beaux pays démocratiques occidentaux dès 2020 avec la crise COVID-19. Grâce à des pressions étatiques, ces merveilleux media ont accepté d’obéir aux ordres des autorités pour éliminer tout contenu « suspect », c’est-à-dire en dehors du discours officiel en ce qui concernait ce qu’il fallait croire : la Science est du côté des bons ! Tout qui osait, ne fût-ce que poser des questions dérangeantes, était automatiquement étiqueté: anti-vax, incivique, complotiste, et même criminel, bon à enfermer, antisocial, etc.

Mon environnement personnel étant bienveillant, je n’ai eu droit que à « incivique » et « complotiste » mais très peu, et jamais avec ostracisation. Mais d’autres ont eu beaucoup moins de chance que moi. Rejet familial, professionnel, amical, etc. Isolement et ostracisation.

Tout ça parce qu’il fallait obéir au « Miniver » (voir le ministère de la Vérité dans 1984 de George Orwell) car lui seul détenait la véritable parole de la Science ! Tout scientifique éclate de rire en entendant ça, mais finalement, il y en a extrêmement peu, même dans le monde « académique » …

Les choses vont peut-être changer car de plus en plus de dossiers d’enquêtes indépendantes sortent qui mettent au grand jour les corruptions qui ont joué dans la gestion de cette crise.

Dans ce temps de clivage, j’ai entendu argumenter que si on voulait faire passer un message de questionnement tel que ceux précédemment taxés de « complotistes », il fallait être très circonspect, éviter les sujets trop sensibles, et éviter d’utiliser des arguments qui pourraient être catalogués de complotiste. Mais où mettre la barre ?

Cette frilosité n’est-elle pas une contrainte inacceptable à l’expression libre ? C’est mon avis et je continuerai à exprimer ce que je pense, toujours avec respect mais aussi sans auto contrainte.

Donc, des deux étiquettes de complotiste ou de frileuse, je choisis la première.

Mais quelle honte ! Le pauvre dans ce bureau ovale !

Je ne suis guère l’actualité, tellement déprimante. Mais je n’ai pas pu échapper à la façon dont l’entretien Trump-Zelensky s’est passé dans le bureau ovale ce 28 février 2025. Ils devaient, en principe, parler d’un accord sur l’exploitation des ressources ukrainiennes en minerais, ceci après que les présidents Trump et Poutine aient débuté, seuls, sans l’Ukraine, les réflexions sur des négociations de paix.

Après avoir vu défiler aussi bien les commentaires des pro-Zelensky que ceux des pro-Trump, totalement opposés évidemment, j’ai donc regardé l’extrait médiatisé de cet entretien.

D’abord, surprise visuelle ! Le président Zelenski n’est pas en treillis de soldat ! Mais néanmoins pas du tout en costume-cravatte évidemment. Faut pas pousser. J’ai toujours salué son art de la communication. C’est vrai qu’il vient du monde du spectacle.

Ensuite, je suis avec intérêt ses tentatives de participer à l’entretien et je me dis, à chaque tentative, qu’il tape à côté. Au lieu de se mettre au diapason de ce début de négociation et de possibilité de paix, il rappelle, de manière maladroite et tronquée, les différends passés avec la Russie. On en n’est plus là Monsieur le Président. Le temps de la propagande de guerre est terminé. J’aurais compris qu’il évoque avec tristesse la façon dont l’administration états-unienne précédente lui a fait miroiter, de façon criminellement honteuse, des aides conséquentes, mais il a, au contraire, fait en sorte d’agacer ses deux interlocuteurs. J’ai eu l’impression très forte de voir un homme qui joue la comédie du « je suis le pauvre petit sans défense qui se fait broyer par deux ogres impitoyables ». Bien joué Monsieur le Président Zelensky, beaucoup y ont cru. Je salue la technique manipulatoire ultime car il est naturel d’avoir une empathie forte pour celui qui a l’air opprimé. Et surtout, ça lui permet de ne pas signer tout de suite cet accord sur les minerais ukrainiens, dernière humiliation avant la déclaration de la défaite finale.

En fin de compte, je suis un peu triste pour lui, mais ce sentiment s’est très vite estompé en pensant à sa responsabilité dans tant de morts depuis 2022, après qu’il a rompu les négociations en cours avec la Russie en avril 2022. Voir à ce propos, le rappel des faits par le Professeur Jeffrey Sachs, qui avait suivi personnellement ces négociations: « Zelinsky a dit en sept jours « négocions » (je connais les détails parce que j’ai parlé à toutes les parties en détail en l’espace de deux semaines). Il y a eu un échange de documents que le président Poutine avait approuvé, que Lavrov avait présenté et qui était géré par les médiateurs turcs. MAIS l’Ukraine s’est retirée unilatéralement d’un accord presque conclu ! Pourquoi ? Parce que les Etats-Unis le lui ont demandé, parce que le Royaume-Uni a ajouté la cerise sur le gâteau en envoyant Bojo (Boris Johnson) en Ukraine début avril pour soutenir les Etats-Unis… »

Finalement, je me dit que j’aurais mieux fait de m’abstenir de regarder tout ça et de rester dans ma bulle. Ce cirque politico-médiatique est à vomir.

Il faut suspendre l’injection génique à ARNm contre la COVID: lettre ouverte du Dr Malhotra au GMC

Quand on n’a pas d’argument solide contre un message, on détruit le messager. C’est ce qui est arrivé au Dr Aseem Malhotra. Un des nombreux médecins qui se sont élevés contre la folie de l’imposition de l’injection génique contre la COVID.

MAIS …

« Sunlight is the most powerful disinfectant for malodorous health policy. »
En français: La lumière du soleil est le désinfectant le plus puissant pour les politiques de santé malodorantes

Le Dr Assem Malhotra

Le Dr Malhotra est un cardiologue anglais ayant exercé dans plusieurs hôpitaux anglais. Lors de la création de «Action on Sugar» en 2014, il en est devenu le premier directeur scientifique. Il est un ancien consultant clinique associé à l’Academy of Medical Royal Colleges.

En 2015, il a été nommé administrateur du Fonds du Roi, the King’s Fund en anglais, chargé de collecter des fonds pour les hôpitaux bénévoles de Londres. Le travail du Fonds a évolué au fil du temps en réponse aux besoins changeants de la population, mais leur mission, améliorer la santé et les soins pour tous, a perduré; et le mandat du Dr Malhotra a été renouvelé pour trois ans en 2018.

Il a fait campagne pour de multiples questions de santé, et s’est souvent trouvé en contradiction avec la pensée dominante.

En janvier 2023, un groupe de médecins désirant rester anonymes, dont certains médecins généralistes, a demandé au General Medical Council (GMC) d’enquêter sur l’aptitude d’Aseem Malhotra à exercer, en raison de ce qu’ils affirment être sa « promotion très médiatisée de la désinformation sur les vaccins à ARNm Covid-19 ». Le 2 juin 2023, les médecins ont entamé la première étape formelle de la procédure judiciaire contre le GMC en lui envoyant la lettre officielle du protocole de pré-action. Cette lettre stipulait que « nous intentons cette action en justice parce que nous pensons que le GMC, en tant que régulateur officiel des normes professionnelles des médecins, a le devoir d’agir dans cette affaire ».

Le GMC a demandé des comptes au Dr Malhotra, qui leur répond dans une lettre ouverte. J’en ai tiré une traduction française grâce à l’application de traduction deepl. Elle est disponible au téléchargement ici.

Le GMC

Le General Medical Council (GMC) est un organisme public qui tient le registre officiel des médecins praticiens au Royaume-Uni. Sa principale responsabilité est de « protéger, promouvoir et maintenir la santé et la sécurité du public » en contrôlant l’inscription au registre et en suspendant ou en radiant les membres si nécessaire. Il fixe également les normes applicables aux écoles de médecine du Royaume-Uni. L’inscription au registre confère d’importants privilèges en vertu de la partie VI de la loi sur la médecine de 1983. Toute fausse déclaration d’adhésion constitue un délit pénal. Le GMC est financé par les cotisations de ses membres et est devenu une organisation caritative en 2001.

Quelques extraits de la lettre ouverte

La position du Dr Malhotra sur le vaccin COVID-19 est restée claire : les vaccins COVID-19 n’ont pas fait la preuve d’une sécurité suffisante dans des études impartiales et présentent des preuves évidentes de nocivité pour certaines personnes.

Les obstacles, il y en a deux essentiels, à une image plus complète de la vérité concernant les vaccins COVID-19 sont principalement d’ordre psychologique, et non intellectuel.
Le premier obstacle psychologique à la vérité est la peur. Dans un état de peur, les êtres humains, y compris les médecins, sont moins capables de s’engager dans une réflexion critique, composante fondamentale de la science.
Le deuxième obstacle psychologique est l’aveuglement volontaire, consistant à fermer les yeux sur la vérité afin de se sentir en sécurité, d’éviter les conflits, de réduire l’anxiété ou de protéger leur prestige et leur ego fragile.
Le système politique, l’establishment médical et les médias traditionnels continuent d’être volontairement aveugles à ce qui est peut-être le produit médical le plus horrible à être injecté à des centaines de millions de personnes dans le monde.
Le problème est institutionnel et doit être résolu.

Une combinaison de données cliniques, mécanistes, d’essais contrôlés randomisés, d’observation, de pharmacovigilance et d’autopsie a permis de confirmer l’existence d’effets nocifs graves dus au vaccin. Dans ces études, la majorité des décès survenus dans les deux semaines suivant l’administration du vaccin étaient directement imputables au produit ARNm. Il existe des preuves indéniables que le vaccin COVID-19 présente des risques sérieux pour au moins certaines personnes.

Une nouvelle analyse (voir sur pubmed) des essais cliniques randomisés originaux de Pfizer et Moderna par des scientifiques indépendants, publiée dans la revue Vaccine, a révélé qu’il était plus probable de souffrir d’un effet indésirable grave (par exemple, une réaction qui change la vie, une invalidité ou une hospitalisation) en prenant le vaccin que d’être hospitalisé avec la COVID. Le taux d’effets indésirables graves à court terme était de 1 sur 800.

Deux des plus grands experts mondiaux en oncologie (le professeur Angus Dalgliesh) et en immunologie (le professeur Robert Clancy) estiment qu’il existe des preuves mécanistiques et cliniques solides que les vaccins ARNm Covid provoquent le cancer par différentes voies, notamment l’immunosuppression prolongée et la contamination par l’ADN.

En plus d’une liste de 21 références, il propose une voie à suivre en 5 points:

  1. SUSPENSION IMMÉDIATE DES PRODUITS VACCINS À ARNm COVID-19
  2. UNE REEVALUATION COMPLETE DE LA SECURITE ET DE L’EFFICACITE DE TOUS LES VACCINS COVID-19
  3. LA RECONNAISSANCE ET LE SOUTIEN IMMÉDIATS DES PERSONNES BLESSÉES PAR LES VACCINS
  4. LA RESTAURATION DES PRINCIPES ÉTHIQUES ABANDONNÉS PENDANT L’ÈRE COVID-19
  5. S’ATTAQUER AUX CAUSES PROFONDES DE NOTRE SITUATION ACTUELLE

Un grand nombre de médecins a signé sa pétition concernant cette position.

Son entretien (en anglais) avec le Dr John Campbell se trouve sur Youtube.

J’insiste encore pour que chacun prenne la peine de s’informer et de considérer les arguments très solides du Dr Malhotra. Téléchargez la traduction française de sa lettre ouverte. Ou consultez-la dans sa version originale.

Lueur d’espoir: le rapport du Sous-Comité sur la pandémie de coronavirus du Congrès des États-Unis

De janvier 2020 à janvier 2024, le fait que très peu de personnes de mon environnement partageaient mon point de vue sur la façon dont les autorités géraient la crise sanitaire me donnait la sensation de gêner aux entournures, d’être complotiste comme on dit, mais mon entourage est très bienveillant et ne m’a rien dit de déplaisant. Néanmoins, je veillais à échanger assez peu sur ce sujet. Malgré cet isolement personnel, qui me gênait peu à vrai dire, j’ai constaté, grâce aux réseaux sociaux, Youtube en particulier, que les « récalcitrants » comme moi n’étaient pas si peu nombreux, même si nous étions très très loin d’être majoritaires. Fin 2023, j’ai écrit un petit article reprenant les quelques résistants que j’avais découverts au fil du temps, «COVID-19: petit éclairage sur des actions de résistance à la pensée unique». Et le tout premier article que j’ai écrit sur cette crise sanitaire date du 11/09/2021: «2021: l’année de la folie collective».

Bien que ces résistants soient de plus en plus nombreux à être entendus dans les médias indépendants, le dogmatisme dominant conserve sa mainmise sur la pensée collective, surtout dans nos contrées européennes.

Mais une lueur pointe cependant, du côté des États-Unis. En effet, en février 2023, la Chambre des Représentants du Congrès des USA a désigné un Sous-Comité sur la pandémie de coronavirus. Elle a terminé et envoyé son rapport au Congrès, ce 4/12/2024.

Extrait de la lettre de Brad Wenstrup, D.P.M., adressée au 118e congrès du Congrès des États-Unis, le 04/12/2024:

«Since February 2023, the subcommittee sought to produce a full after-action report to provide a road map of how we, in Congress, the Executive, and the private sector may better prepare for and respond to future pandemics. It sent more than 100 investigative letters, conducted 38 transcribed interviews or depositions, held 25 hearings or meetings, and reviwed more than one million pages of documents from dozens of custodians. This work looks back on many events, comments, guidances, and other actions, to look forward. This is the single most through review of the pandemic conducted to date.»

En voici la traduction.

«Depuis février 2023, le sous-comité a cherché à produire un rapport complet sur les mesures prises après la pandémie afin de fournir une feuille de route sur la façon dont nous, au Congrès, l’exécutif et le secteur privé, pouvons mieux nous préparer aux pandémies futures et y répondre. Il a envoyé plus de 100 lettres d’enquête, mené 38 interrogatoires ou dépositions transcrites, tenu 25 audiences ou réunions et relu plus d’un million de pages de documents provenant de dizaines de dépositaires. Ce travail se penche sur de nombreux événements, commentaires, orientations et autres actions pour regarder vers l’avenir. Il s’agit de la plus grande étude sur la pandémie réalisée à ce jour.»

Le rapport est accessible sur https://oversight.house.gov/wp-content/uploads/2024/12/2024.12.04-SSCP-FINAL-REPORT-ANS.pdf

Les membres et le personnel ont exposé la corruption de haut niveau dans le système de santé publique américain, confirmé l’origine la plus probable de la pandémie, tenu les mauvais acteurs du COVID-19 publiquement responsables, favorisé un consensus bipartisan sur des questions consécutives de l’ère pandémique, et plus encore. Ce rapport final de 520 pages détaille toutes les constatations de l’enquête du sous-comité.

Voici une liste de quelques titres de chapitres clés du document (traduits)

  • SARS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, est probablement apparu à la suite d’un accident lié au laboratoire ou à la recherche
  • Les échecs d’EcoHealth Alliance, Inc (à propos de la recherche sur le gain-of-fonction facilité à l’Institut de virologie de Wuhan)
  • L’efficacité, la transparence et l’efficience de l’utilisation des fonds publics et des programmes d’aide pour lutter contre la pandémie de coronavirus, y compris les rapports de gaspillage, de fraude ou d’abus
  • L’exigence de six pieds de distance sociale n’était pas soutenue par la science
  • Les masques et les mandats de masque n’ont pas permis de contrôler la propagation de la COVID-19
  • Les centres américains de lutte contre les maladies et de prévention se sont appuyés sur des études erronées pour appuyer l’émission de mandats de masques
  • Masquer de force les jeunes enfants âgés de deux ans et plus, causant plus de mal que de bien
  • Les confinements non scientifiques liés à la COVID-19 ont causé plus de tort que de bien
  • L’ordre du 25 mars de l’ancien gouverneur de New York, Andrew Cuomo, était une faute médicale et la chambre exécutive de New York a tenté de le couvrir
  • Désinformation sur la COVID-19 perpétrée par le gouvernement
  • Les responsables de la santé publique ont ignoré l’immunité naturelle, malgré son efficacité et sa durabilité prouvées
  • Les mandats de vaccination n’étaient pas appuyés par la science et causaient plus de mal que de bien
  • Le ministère de la Santé et des Services sociaux du gouvernement Biden a fait obstruction à l’enquête du sous-comité spécial
  • EcoHealth Alliance, Inc. et le Dr Peter Daszak ont fait obstruction à l’enquête du sous-comité et induit le public en erreur
  • Le Dr David Morens a probablement détruit des preuves, utilisé un courriel personnel pour se cacher de la responsabilité et agi comme s’il n’était pas un employé fédéral
  • Le gouverneur de New York, Kathy Hochul, a refusé de communiquer des documents clés au sous-comité de sélection en raison d’une demande de privilège

Avec ce rapport, véritable bombe dans le paysage marécageux actuel, et la nomination de Robert Kennedy Jr à la santé aux USA, je crois en un avenir meilleur. Sans compter sur l’initiative courageuse de mon compatriote Frédéric Baldan contre Ursula Von der Leyen, par son action au pénal ici à Liège. J’espère que l’audience de ce 6/12/2024 débouchera sur un acte de courage de notre Justice belge.

NB: en soutien à cette publication, je désire ajouter le lien à l’article du Professeur Bernard Rentier, Recteur émérite de l’Université de Liège, du 8/12/2024: «Le COVID-19 sous le microscope du Congrès des U.S.A. : 520 pages pour autopsier une pandémie»

Le racket de la « préqualification » et de la « liste des utilisations d’urgence » de l’OMS

L’article ci-dessous est une traduction d’une partie de publication de James Roguski, qui s’est longuement investi dans l’analyse de ce qui se passe à l’OMS. La publication est en anglais, très complète, contient un nombre de liens conséquent, à destination de qui veut prendre la peine de s’informer. Je ne reprends que le corps principal de l’article, simplement à titre indicatif pour illustrer l’image sacro-sainte de notre bien-aimée OMS.


Les produits approuvés, « préqualifiés » ou inscrits sur la liste d’urgence par l’Organisation mondiale de la santé sont-ils vraiment « sûrs et efficaces » ou s’agit-il simplement d’un autre racket de corruption et d’argent ?

Savez-vous que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a « préqualifié » 272 vaccins ? Elle demande plus de 100 000 dollars par vaccin !

Pour que les « produits liés à la santé » fassent partie du système d’approvisionnement des Nations unies, ils doivent être « préqualifiés » par l’OMS, qui perçoit des frais substantiels, uniques et continus, en échange de leur « préqualification ». (voir https://extranet.who.int/prequal/vaccines/fees-prequalification)

Un « racket » est défini comme l’acte de créer une demande pour un « service » par l’extorsion ou l’intimidation alors que ce « service » n’aurait pas été nécessaire autrement.

Un « racketteur » est une personne qui se livre à une activité criminelle organisée, généralement dans un but lucratif.

La pratique du « racket » est un type de crime organisé dans lequel les auteurs mettent en place un système ou une opération coercitive, frauduleuse, d’extorsion ou autrement coordonnée (un « racket ») afin d’engranger des bénéfices de manière répétée ou constante.

L’OMS est-elle éthiquement et financièrement responsable des dommages causés par les produits qu’elle « préqualifie » ?

Ou bien son système lucratif lui permet-il de créer une illusion de sécurité et d’efficacité tout en rejetant la responsabilité sur les agences nationales de réglementation responsables ?

Cliquez sur les liens ci-dessous pour plus de détails :

https://extranet.who.int/prequal/vaccines/fees-prequalification

https://extranet.who.int/prequal/vaccines/prequalified-vaccines

CLIQUEZ ICI pour télécharger le fichier de données CSV.

Si les fabricants veulent que leurs produits puissent être achetés par les agences des Nations unies, ils doivent se soumettre au système de l’Organisation mondiale de la santé pour que leurs produits soient « préqualifiés ».

QUELQUES EXTRAITS ÉVOCATEURS DE L’ACCORD PANDÉMIE ET DU RÈGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL

L’« Accord sur les pandémies » proposé exigerait des nations qu’elles soutiennent l’influence croissante de l’Organisation mondiale de la santé sur le processus d’approbation des vaccins, des dispositifs d’immunisation, des médicaments catalogue, des diagnostics in vitro, des services d’inspection, des produits de lutte antivectorielle et, oui, même des dispositifs de circoncision masculine.

Article 14.5 de l’Accord Pandémie

Chaque partie, selon qu’il convient et conformément au droit applicable, encourage les concepteurs et fabricants concernés de produits de santé liés à la pandémie à rechercher avec diligence les autorisations et approbations réglementaires auprès des autorités réglementaires nationales et/ou régionales, y compris les autorités figurant sur la liste de l’OMS, ainsi que la préqualification de ces produits par l’OMS.

L’annexe 6 du Règlement sanitaire international stipule déjà ce qui suit (p.55)

1. Les vaccins et les produits prophylactiques désignés par l’OMS sont soumis à son approbation.

3. Les certificats délivrés au titre de la présente annexe ne sont valables que si le vaccin ou la prophylaxie utilisés ont été approuvés par l’OMS.

Un mot sur les financements et les tarifs divers …

Voir le lien à https://extranet.who.int/prequal/about/funding

L’Organisation mondiale de la santé fait payer très cher aux entreprises manufacturières la « préqualification » de leurs produits.

Les activités de préqualification de l’OMS ont longtemps été financées par des donateurs internationaux au moyen de subventions à court terme.

En janvier 2017, l’OMS a donc introduit un nouveau modèle de tarification pour les médicaments – produits pharmaceutiques finis (PPF) et ingrédients pharmaceutiques actifs (IPA) – et les vaccins, et plus tard pour les diagnostics in vitro (DIV), en août 2018.

En 2023, le « Fonds de rémunération des services » de l’OMS a réalisé un bénéfice de 14,8 millions de dollars sur les 27,8 millions de dollars de frais qu’il a perçus. Voir https://www.who.int/publications/i/item/A77-20. Avec un exemple p.59: Le Fonds « volontaire » de rémunération des services (Fee for service fund en anglais). Ce fonds a été créé pour enregistrer et déclarer les frais facturés aux fabricants pour les services de préqualification visant à évaluer la qualité, la sécurité et l’efficacité des produits médicaux (vaccins, médicaments ou diagnostics).

OU ENCORE, DANS LE CHAPITRE VACCINS ..

Le processus par lequel les normes et les standards sont évalués par l’OMS pour la préqualification des vaccins n’est PAS soumis à l’avis ou à l’examen du public.

La préqualification des vaccins par l’OMS applique les normes, standards et autres recommandations établis par l’OMS au fur et à mesure qu’ils sont disponibles. Il s’agit notamment des normes élaborées et adoptées par le Comité OMS d’experts de la normalisation biologique, qui portent sur la fabrication, l’homologation, le contrôle de la qualité, l’étiquetage, le transport et le stockage des vaccins.

OU ENCORE, DANS LE CHAPITRE MÉDICAMENTS …

Inscription sur la liste des utilisations d’urgence (Emergency Use Listing en anglais, acronyme EUL)

La procédure d’inscription sur la liste des utilisations d’urgence de l’OMS (EUL) est une procédure fondée sur le risque qui permet d’évaluer et d’inscrire sur la liste des vaccins, des produits thérapeutiques et des diagnostics in vitro non homologués, dans le but ultime d’accélérer la mise à disposition de ces produits aux personnes touchées par une situation d’urgence en matière de santé publique.

L’évaluation déterminera si, à la lumière des normes OMS/internationales disponibles, les données soumises démontrent une probabilité raisonnable que la qualité, la sécurité et l’efficacité du vaccin sont acceptables et que les avantages l’emportent sur les risques prévisibles et les incertitudes dans le contexte d’une urgence de santé publique.

Si des problèmes de qualité et/ou de sécurité sont identifiés après l’inscription, l’OMS peut demander l’avis du groupe consultatif technique pour l’inscription sur la liste des utilisations d’urgence (TAG EUL).

Toutes les informations soumises seront évaluées afin de déterminer si le rapport bénéfice-risque du vaccin reste positif.

(Ah Oui ?? On a vu ce qu’il en était avec les vaccins COVID !!)

Voir le lien https://extranet.who.int/prequal/vaccines/emergency-use-listing-procedure

En quoi l’inscription sur la liste des utilisations d’urgence diffère-t-elle de la préqualification ?

La procédure d’exception est une procédure spéciale pour les vaccins, les médicaments et les diagnostics in vitro non homologués en cas d’urgence de santé publique, lorsque la communauté ou les autorités de santé publique peuvent être disposées à tolérer un degré moindre de certitude quant à l’efficacité et à la sécurité des produits, compte tenu de la morbidité et/ou de la mortalité de la maladie et de l’absence ou de la rareté des options de traitement, de diagnostic/détection ou de prévention. La procédure vise à fournir une liste limitée dans le temps pour les produits non autorisés dans un contexte d’urgence lorsque les données disponibles sont limitées et que les produits ne sont pas encore prêts à faire l’objet d’une demande de préqualification. Dans le cadre de la licence d’utilisateur final, on attend du fabricant qu’il achève le développement du produit et qu’il présente une demande d’autorisation et de préqualification à l’OMS.
L’inscription d’un produit évalué dans le cadre de la procédure d’autorisation universelle de mise sur le marché garantit-elle la sécurité, l’efficacité et les performances du produit ?

L’évaluation des produits dans le cadre de la procédure d’exception est effectuée sur la base des données relatives à la qualité, à la sécurité, à l’efficacité ou aux performances disponibles au moment de la soumission. Toutefois, étant donné que le produit est encore en cours de développement (vaccins et médicaments uniquement, les DIV en cours de développement ne sont pas acceptés pour l’évaluation), la décision d’inscrire le produit sur la liste sera fondée sur une évaluation des risques et des avantages compte tenu de l’urgence en matière de santé publique. Les données disponibles doivent indiquer que l’utilisation du produit apportera un bénéfice à la population cible.
Quelles sont les normes écrites utilisées pour évaluer les nouveaux produits s’il n’existe pas de lignes directrices publiées pour le produit en question ?

Le comité d’évaluation des produits établira une liste des lignes directrices existantes relatives aux vaccins et aux médicaments, ainsi que des données scientifiques publiées susceptibles d’étayer l’évaluation. Cette liste de documents utilisés comme référence sera incluse dans le rapport préparé par le comité d’évaluation des produits.

INTÉRESSANT ET ÉVOCATEUR NON ???

Pétition Accord Pandémie sur Les Lignes Bougent

Après avoir subi la censure de ma pétition « L’Accord Pandémie de l’OMS ? NON ET NON » de change.org, j’ai décidé de la publier sur « Les Lignes Bougent ».

Elle est en ligne depuis le 01/11/2024 et j’espère qu’elle le restera.

De plus, comme les dates de délibération de l’INB sont imminentes, j’ai décidé de faire part, par email, de mon inquiétude à quelques uns de nos élus belges: le Premier Ministre et les deux Ministres de la Santé fédéral et wallon. Ci-dessous la copie d’écran de ce mail.

mail aux ministres

L’espoir fait vivre !

La censure sur change.org: pétition supprimée

Ce 29/10/2024 fin de soirée, change.org me signifie la suppression de ma pétition « L’Accord Pandémie de l’OMS ? NON ET NON », mise en ligne deux jours plus tôt. Mon article précédent soutenait et détaillait le contenu en relation avec cette pétition.

Motif de cette suppression, envoyé en anglais alors que ma pétition est en français:
« We are writing to let you know that content you have posted on Change.org violates our Community Guidelines. This is in reference to your petition titled: L’Accord Pandémie de l’OMS? NON ET NON. We have determined that your content is incompatible with our policies on False or Misleading Information. As such, we have removed the violative content from Change.org. » En résumé, ils ont déterminé que mon contenu était incompatible avec leurs politiques en matière d’informations fausses ou trompeuses.

Je suis consternée par leur action. J’ai consulté leurs lignes directrices à ce sujet et je n’ai trouvé nulle part une telle chose dans ma pétition. Je cite des documents et j’insiste sur les dangers sous-jacents de leur contenu. Bien sûr, il s’agit de mon opinion, mais c’est l’idée qui sous-tend la liberté d’expression et l’existence des pétitions ! J’ai posté une pétition similaire en mai 2023 et elle est passée sans aucune censure de leur part. Qu’est-ce qui a changé ? Une emprise plus grande de quoi ?

Alors que de plus en plus de sons de cloches différents sonnent sur les réseaux sociaux, il semble que certains canaux de diffusion restent sous contrôle. On ne peut certainement pas douter de tout, il y a encore un dogme imposé sur certains sujets, et il semble que l’OMS reste nimbée d’un halo de sainteté indéfectible.

Comme ma pétition a été supprimée, voici à quoi elle ressemblait juste avant que je la mette en ligne; c’est ma version de préparation que j’ai sauvegardée comme je fais souvent quand je prépare un document.

L’Accord Pandémie de l’OMS ? NON ET NON

Ceci n’est certes pas l’information la plus importante concernant l’état du monde: il y a les guerres à travers le monde, particulièrement au Moyen-Orient et en Ukraine, les élections états-uniennes, etc. De plus, les amendements au Règlement Sanitaire International (RSI) de l’OMS, malgré les tentatives multiples de personnes qui ont pris le temps d’alerter sur leurs dangers potentiels, ont suscité très peu d’intérêt. Il semble en être de même pour cet « Accord sur les pandémies » de l’OMS (WHO en anglais), qui a cependant plus de mal à mettre tous les États participants d’accord.

La douzième session de négociation de cet Accord est prévue du 4 au 15 novembre 2024.
Si une adhésion est obtenue sur la proposition actuelle d’ici le 11 novembre 2024, l’organe intergouvernemental de négociation prévoit de programmer une session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS, WHA en anglais) pour voter officiellement l’adoption de l’accord.
Cette session extraordinaire se tiendrait probablement du 18 au 20 décembre 2024.
Un exemplaire d’une version récente « non officielle » du 19/09/2024 est disponible ici. Pour info, la version « officielle » date du 24/05/2024.

On pourrait croire que l’OMS veut aider tous les pays à se prémunir des dangers des pandémies à venir, mais c’est un écran de fumée. Derrière toute une série d’articles lénifiants donnant l’impression que chaque état reste maître de sa destinée, que tous les articles de l’Accord visent à garantir aux pauvres comme aux riches les meilleurs moyens pour se protéger, etc., il ne s’agit ni plus ni moins que d’un accord commercial corrompu. Ces mots sont forts mais justifiés. Il consiste à prendre l’argent des pays « riches », des Banques, des donateurs millionnaires (genre Bill Gates) pour construire des infrastructures pour Big Pharma, à travers le monde, plus particulièrement dans les pays en développement. Ceci pour mieux créer et vendre facilement à tous leurs « produits de santé » à la pointe du progrès pour toute pandémie, ancienne ou nouvelle.

Préalablement au travail sur cet Accord, il y a eu celui concernant les amendements au Règlement Sanitaire International (RSI). Pour rappel, l’OMS définit le RSI comme:

Le RSI est un instrument de droit international juridiquement contraignant pour 196 pays, dont les 194 États membres de l’OMS. Le RSI est né de la réaction aux épidémies mortelles qui ont autrefois ravagé l’Europe. Il crée des droits et des obligations pour les pays, notamment l’obligation de notifier les évènements de santé publique. Le règlement définit également les critères permettant de déterminer si un évènement particulier constitue ou non une « urgence de santé publique de portée internationale ».

Néanmoins, dans l’avant-dernière version du RSI, de 2005, les articles restaient non contraignants pour les membres, servant uniquement de guides. Ce qui, évidemment, était assez sybillin vu la définition précédente. Mais les amendements aux RSI proposés en septembre 2022 avaient pour but de rendre ces Règles contraignantes pour toutes les parties et d’appliquer le concept One Health à tous de la même manière. Finalement, les amendements ont été acceptés dans une version débarrassée de l’aspect « contraignant », semblant ainsi rendre aux états leur souveraineté. En ce qui concerne la procédure de ratification de ces amendements, rappelons au passage qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle loi à faire voter par les états, il s’agit de règles d’un accord déjà accepté auparavant et, si les états ne sont pas satisfaits par les nouveaux amendements, ils ont 18 mois pour signaler clairement leur désaccord. Car ces états ont désigné des représentants pour discuter avec l’OMS et il n’est plus nécessaire de repasser par le côté législatif, ce sont les représentants qui ont déjà accepté … Ce sont eux qui ont le pouvoir de décision et il est supposé que les états sont d’accord avec les décisions de leur représentants sauf rejet EXPLICITE. QUI NE DIT MOT CONSENT ! Donc, les amendements ont été acceptés et on se consacre dorénavant au fameux Accord Pandémie. La tentative d’enfumage continue.

Et vient enfin l’Accord Pandémie ! Je vous suggère de lire attentivement la dernière version de cet Accord. Avant tout, je souligne que ce sont ces mêmes personnes, qui refusent de se poser des questions quant à la politique menée lors de la pandémie de COVID-19 et/ou qui refusent de voir les effets délétères résultant, qui discutent pour l’élaboration de cet Accord.

Remarquons aussi, en passant, que Big Pharma ne dispose pas des ressources pour se déployer partout dans les pays pauvres. Quoi de mieux alors que l’OMS pour leur servir de plateforme ! Sous couvert de bonnes intentions du style « la même santé pour tous« , « les pays plus pauvres seront « aidés » à obtenir les meilleurs produits sur le marché« , etc., cet Accord Pandémie n’est en fait qu’un dispositif commercial mondial. Il ne s’agit pas d’un partage de santé mais d’un accroissement de fortune et de pouvoir. Je suis consciente que ces derniers mots résonnent comme ceux d’une complotiste, tant pis ! Lisez l’Accord avec lucidité et ouverture d’esprit, sans prêter une once d’angélisme à l’OMS et ses grands financiers comme Bill Gates.
Voici quelques extraits que je mets en évidence assortis de quelques réflexions personnelles, mais c’est seulement une toute petite partie de ce texte éminemment sujet à caution.

Partie introductive: « Les parties à l’accord de l’OMS sur les pandémies, »

Pleine de bonnes intentions …
… MAIS …

3 . Reconnaissant que l’Organisation mondiale de la santé est l’autorité directrice et coordinatrice de l’action sanitaire internationale, notamment en matière de prévention, de préparation et d’intervention en cas de pandémie, (AUTORITÉ DIRECTRICE ET COORDINATRICE !)

13 . Reconnaissant l’importance d’instaurer un climat de confiance et d’assurer le partage d’informations en temps opportun afin d’éviter la désinformation et la stigmatisation d’éviter la désinformation et la stigmatisation, (QUI DÉCIDE DE CE QU’EST LA BONNE INFORMATION ?)

Les quelques Articles que j’épingle pour attirer votre attention (mais vous aurez aussi les vôtres …)

Article 2. Objectifs

2 . Pour atteindre cet objectif, les dispositions de l’accord de l’OMS sur les pandémies s’appliquent à la fois pendant et entre les pandémies, sauf indication contraire.

Article 3. Principes

6 . Les meilleures données scientifiques et factuelles disponibles comme base des décisions de santé publique en matière de prévention, de préparation et d’intervention en cas de pandémie. (EXCUSEZ-MOI, MAIS ICI JE ME MARRE VU LA FAÇON DONT TANT DE SCIENTIFIQUES DE HAUT NIVEAU ONT ÉTÉ CONTRAINTS AU SILENCE ET À L’INVISIBILITÉ, AUSSI BIEN QU’AUX ACCUSATIONS DE COMPLOTISME, QUAND CE N’EST PAS CARRÉMENT DES MESURES DE COERCITION JURIDIQUES … QUI DÉCIDE DE LA QUALITÉ DE CES DONNÉES SCIENTIFIQUES !)

Article 10. Production locale durable et géographiquement diversifiée

1 . Les Parties prennent des mesures, le cas échéant, pour parvenir à une répartition géographique plus équitable et à une augmentation rapide de la production mondiale de produits de santé liés à la pandémie et pour accroître l’accès durable, opportun et équitable à ces produits, ainsi que pour réduire l’écart potentiel entre l’offre et la demande pendant les situations d’urgence pandémiques, notamment par le biais des mesures prévues aux articles 11 et 13. => ÉTABLISSEMENT DE LA PLATEFORME DE PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION POUR BIG PHARMA

Article 20. Financement durable (POUR ÊTRE SÛR D’AVOIR DES RESSOURCES POUR BIG PHARMA)

2 . (b) mobiliser des ressources financières supplémentaires pour aider les Parties, en particulier les pays en développement, à mettre en œuvre l’accord de l’OMS sur les pandémies, notamment au moyen de subventions et de prêts à des conditions préférentielles ; (BRAVO: ENDETTEMENT DES PAUVRES POUR ENRICHIR BIG PHARMA)

4 . Le mécanisme fonctionne sous l’autorité et la direction de la Conférence des Parties (voir ci-dessous) et est responsable devant elle. Son fonctionnement peut être appuyé par une ou plusieurs entités internationales choisies par la conférence des parties. La Conférence des Parties adopte [, par consensus,] le mandat du mécanisme et les modalités de son fonctionnement et de sa gouvernance, dans les 12 mois qui suivent l’entrée en vigueur de l’Accord de l’OMS sur les pandémies, et peut adopter les accords de travail nécessaires avec d’autres entités [financières] internationales.

Articles 21 à 27

Visent à mettre au point une toute nouvelle bureaucratie (Conférence des Parties) pour gérer tout ce beau profit. Ils mettent en place le cadre de travail pour la gestion des pandémies, des médicaments, etc. Ce sont ces bureaucrates et ces lobbies qui vont édicter ce qui doit être appliqué pour « bien » gérer ce qu’ils auront décidé d’appeler une pandémie.

Bref, il y aurait encore beaucoup à dire. Cet Accord n’est pas une bonne chose pour la population, seulement une aubaine pour Big Pharma. Le problème c’est que nos gouvernants sont inféodés à l’OMS et suivent aveuglément toutes ses recommandations.

Ma pétition a été lancée sur Change.org.

MAIS OUPS !! MISE EN LIGNE LE 27/10/2024 ET SUPPRIMÉE PAR CHANGE.ORG LE 29/10 FIN DE SOIRÉE

Interpellation des députés belges contre la réélection de Ursula von der Leyen

Il ne reste que 10 jours pour faire savoir aux députés européens, qui l’ignorent peut-être, qui sait… que Mme von der Leyen est sous le coup d’une enquête pour corruption, prise illégale d’intérêt et destruction de documents administratifs, plainte déposée par Frédéric Baldan à Liège et soutenue pour plusieurs centaines de personnes et deux pays européens.

Dans l’urgence, j’ai interpellé les députés belges au Parlement européen concernant cette réélection de Mme Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission européenne, prévue pour le 18 juin prochain.

Voici le mail que je leur ai adressé.


Objet: Demande de non-réélection de Mme Ursula von der Leyen; Verzoek om Ursula von der Leyen niet te herkiezen

Mesdames les Députées européennes,
Messieurs les Députés européens,

Vous êtes mes porte-paroles au Parlement européen et aujourd’hui, je m’adresse à vous pour que vous représentiez l’honneur de notre pays comme digne représentant des valeurs de la Démocratie, de la Justice et de l’éthique associée à ces deux idéaux qui nous sont chers.
J’exprime ici ma très grande inquiétude concernant la réélection potentielle de Mme Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission européenne.
Alors qu’elle fait l’objet d’une plainte pénale très sérieuse avec accusations de corruption et de prise illégale d’intérêt, le simple fait de proposer sa candidature est un manque évident d’éthique car ça compromet l’image d’intégrité des institutions, ça va à l’encontre du principe de précaution, ça envoie un mauvais message en termes de moralité publique, et ça porte atteinte au principe de justice et d’équité. Comment garantir qu’un fonctionnaire, soupçonné de corruption et de prise illégale d’intérêt, n’exploite pas sa position pour influencer l’enquête ou manipuler les preuves en sa faveur? Reconduire Mme von der Leyen à son poste crée donc un conflit d’intérêt évident et met en danger l’impartialité et l’objectivité du processus judiciaire.
Associer notre pays à un tel manque de probité et de transparence en consentant à cette reconduction serait probablement perçu par beaucoup de nos concitoyens comme honteux et pourrait porter gravement atteinte à votre image politique.
Je vous demande donc avec insistance et espoir de ne pas reconduire Mme Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission européenne.
La confiance dans nos institutions est primordiale, et il est essentiel de préserver l’intégrité et l’éthique au sein de l’Union européenne.
Je vous remercie pour votre attention et votre engagement envers les valeurs de la Démocratie et de l’Éthique.
Dr Dominique Dehareng


Mevrouw de plaatsvervanger van het Europees Parlement,
Meneer de plaatsvervanger van het Europees Parlement,

U bent mijn woordvoerders in het Europees Parlement en vandaag richt ik mij tot u om de eer van ons land te vertegenwoordigen als een waardige vertegenwoordiger van de waarden van democratie, rechtvaardigheid en de ethiek die verbonden is met deze twee idealen die ons dierbaar zijn.
Ik wil mijn diepe bezorgdheid uiten over de mogelijke herverkiezing van mevrouw Ursula von der Leyen als voorzitter van de Europese Commissie.
Op een moment dat zij het onderwerp is van een zeer ernstige strafrechtelijke klacht met beschuldigingen van corruptie en illegale belangenverstrengeling, is het simpele feit dat zij zich kandidaat stelt een duidelijk gebrek aan ethiek, omdat het imago van integriteit van de instellingen aantast, het tegen het voorzorgsbeginsel ingaat, het een verkeerd signaal afgeeft in termen van publieke moraal en het beginsel van rechtvaardigheid en billijkheid ondermijnt. Hoe kunnen we garanderen dat een ambtenaar die verdacht wordt van corruptie of het onrechtmatig nemen van een belang, zijn positie niet zal gebruiken om het onderzoek te beïnvloeden of het bewijsmateriaal in zijn voordeel te manipuleren? Het aanhouden van mevrouw von der Leyen in haar functie creëert daarom een duidelijk belangenconflict en brengt de onpartijdigheid en objectiviteit van de rechtsgang in gevaar.
Ons land associëren met een dergelijk gebrek aan eerlijkheid en transparantie door in te stemmen met deze herbenoeming zou door veel van onze medeburgers waarschijnlijk als beschamend worden ervaren en zou uw politieke imago ernstig kunnen schaden.
Daarom dring ik er bij u op aan, en hoop ik, om Ursula von der Leyen niet te herbenoemen tot voorzitter van de Europese Commissie.
Vertrouwen in onze instellingen is van het grootste belang en het is essentieel om integriteit en ethiek binnen de Europese Unie te behouden.
Dank u voor uw aandacht en uw inzet voor de waarden van democratie en ethiek.
Dr Dominique Dehareng