A-t-on démissionné?

Je n’ai jamais été intéressée par la politique et ma vie quotidienne obéissait à quelques règles « citoyennes » minimalistes du style tri efficace des déchets, respect du domaine public, respect des autres, intérêt pour les idées sur la sobriété économique,etc. Je suis très loin d’avoir un caractère militant, j’aime juste qu’on me foute la paix, et je fous la paix aux autres. Le tout dans la plus grande civilité. Je crois que j’ai voté pour à peu près toutes les couleurs de l’arc-en-ciel des partis non extrémistes, votant d’abord pour des personnes plutôt que des partis.

Sans que je le veuille ou le cherche, la crise du SARS-CoV-2 m’a très fortement incitée à me poser des questions. C’est venu tout seul, tant les décisions prises par nos éminents gouvernants me semblaient sujettes à doute.
Une première analyse en 2021 m’a poussée à poster un petit article sur mon état d’esprit de l’époque.

Si je peux comprendre que, dans l’urgence d’une situation inattendue, totalement inconnue et perçue comme dangereuse, les gouvernants prennent des décisions inefficaces, a posteriori je crois que la situation de l’époque n’aurait pas dû être perçue comme totalement inconnue. On avait déjà des connaissances scientifiques concernant le SARS-CoV de 2003 et certains médicaments étaient connus comme efficaces pour diminuer les risques. (voir en bas de page, quelques articles scientifiques). De plus, beaucoup de médecins dans le monde pressentaient l’efficacité de ces deux médicaments, en raison de leur parcours personnel, et ont prescrit ça à leur patientèle, avec des résultats très souvent encourageants. Ce que je ne comprends pas c’est l’acharnement contre ces praticiens dont beaucoup ont subi soit des pressions soit des menaces. Mais je ne reviendrai pas sur ce point, si ce n’est de rappeler que si un ou plusieurs médicaments sont déclarés comme pouvant servir à soigner, aucun traitement expérimental d’urgence ne peut être mis sur le marché, donc pas de vaccin génique !!! Je voudrais juste indiquer que depuis 2020, beaucoup d’études ont été effectuées, tant sur la maladie que sur les vaccins, particulièrement ceux imposés de force par les pays riches occidentaux. Plusieurs personnes ou groupes de personnes ont décidé soit de faire le point, soit de permettre de s’exprimer librement sur le problème. Mais les médias principaux ne présentent jamais quoi que ce soit de ce qui ressort de ces analyses ou positions.

Je voudrais mettre en évidence quelques personnes, actions ou initiatives dignes de respect.

D’abord le Dr Alain Colignon, suspendu 2 ans pour prescription de vitamine D, d’ivermectine, etc., en un mot pour avoir continué à soigner ses patients et à avoir honoré son serment d’Hippocrate, contrairement à certains de ses collègues qui ont suivi aveuglément les consignes imposées par la doxa. Merci Docteur pour votre droiture et pour votre conscience professionnelle.

Ensuite le Dr Martin Zizi pour sa lettre ouverte à notre Premier Ministre. Pour rappel, à la suite de la lettre du Premier ministre à tous les Belges du 22 juillet 2023, Martin Zizi, biophysicien, professeur de physiologie, ancien Directeur épidémiologiste du Département de la Défense, lui a adressé une réponse particulièrement bien fondée, à lire de toute urgence. D’autant qu’elle se fonde sur un rapport d’une soixantaine de pages rédigées par six contributeurs principaux aux qualifications et expériences impressionnantes, et envoyé en juin 2020 au Premier Ministre ! Il ne pourra pas dire qu’il ne savait pas …

Enfin, ci-dessous, quatre exemples d’initiatives, parmi d’autres.

Covidrationnel est une équipe interdisciplinaire principalement composée de professeurs et chercheurs d’universités belges, visant à apporter des éclairages, réflexions, questionnements ou solutions transversales et complémentaires sur la crise de la Covid en Belgique.

L‘International Covid Summit a été créé pour que les médecins, les avocats et les professionnels du monde entier puissent s’unir et discuter de leurs expériences avec le COVID-19, parce que le partage des données et des recherches du monde entier est essentiel pour trouver des traitements efficaces contre le Covid-19 et il est essentiel de pouvoir en discuter en toute sécurité, sans censure.

ReInfoSanté est un collectif de soignants, médecins et scientifiques universitaires qui désire mener des actions de ré-information sur la crise sanitaire alors que les médias officiels font de la désinformation systématique, et également dire « non » aux abus de pouvoir des autorités sanitaires et politiques, demander l’ouverture d’un véritable débat démocratique.

Le livre « COVID-19. Crise sanitaire? Crise sociétale? », co-écrit par Dr M.Bureau, Pr L. Annemans, Dr F.Caruso, C.Cotton, Me C.Delrée, D.Doat, Pr C.Fallon, Dr F.Goaréguer, Pr JM.Longneau, Pr P.Meyer, L.Mucchielli, Pr E.Paul, Pr B.Rentier, M.Rosenzweig, Pr N.Thirion, Dr M.Wathelet, Pr M.Zizi, Ed. Medicatrix, 2022

La position des media « officiels » sur ce type d’initiatives est très bien reflétée par un article de Libération à propos de l’International Covid Summit.

TITRE: CheckNews : «International Covid Summit» : les figures covidosceptiques s’invitent au Parlement européen.
« La troisième édition d’un sommet qui rassemble les personnalités opposées à la vaccination anti-Covid, comme Christian Perronne ou Louis Fouché, se tient cette année, en partie, dans une salle du Parlement européen. Annoncé, Didier Raoult indique qu’il n’y participera pas. »

CE QU’ON PEUT RÉPONDRE À CET ARTICLE PARTICULIÈREMENT TENDANCIEUX ET MANIPULATEUR:

Premièrement, si vous écoutez les conférences, vous pourrez vous rendre compte que les scientifiques qui présentent leurs résultats n’ont rien de « covidosceptiques », ils sont juste scientifiques. DONC FAKE INFO DE MANIPULATION DE LA PART DE LIBÉRATION !

Deuxièmement, cet article détourne les objectifs du sommet en mettant en exergue le fait qu’il est parrainé par des membres de partis européens soit de droite soit d’extrême droite (Christine Anderson, Cristian Terhes, Ivan Sincic, George Simion, Mislav Kolakušić). À noter que Mislav Kolakušić est un parlementaire indépendant ! Ces informations sont vraies et c’est ce qui me plonge dans la perplexité.

En effet, j’ai aussi pu constater que beaucoup d’initiatives de questionnement ou d’analyse provenaient de la droite ou extrême-droite européenne. Et que les partis traditionnels semblaient s’endormir sur des positions décidées une fois pour toutes et non remises en question. Ces partis refusent clairement de répondre aux questions posées. De plus, dès qu’un membre prend des positions plus critiques, comme par exemple le parlementaire Andrew Bridgen au Royaume Uni, il est exclu de son parti. Dès qu’on dévie du narratif imposé par les gouvernants ou qu’on ose se poser des questions ou demander des comptes, on est immédiatement taxé de conspirationnisme, de complotisme. Belle ouverture d’esprit et belle démonstration de démocratie. Je regrette profondément que les partis pour lesquels je vote soient à ce point anesthésiés par leurs certitudes. Et ne parlons pas des media officiels, qui restent sourds ou opposés à tout point de vue différent de la doxa. Les personnalités vilipendées pour leur discours indépendant et discordant, telles que Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude ou Louis Fouché, s’expriment dans les très rares media qui les invitent à présenter leur position et à en discuter. Apparemment, la possibilité de discussion n’existe plus QUE dans des media taxés de populisme ou d’appartenance à l’extrême droite, même lorsqu’ils sont en fait simplement curieux et ouverts, comme le canal « Bercoff dans tous ses états », de Sud Radio. Sont-ils devenus les seuls à garder un esprit critique ? Oui manifestement. ON A DÉMISSIONNÉ !

Au point qu’à l’heure actuelle, il semble que beaucoup d’états soient près à baisser les bras devant la difficulté de gérer ce type de crise et de lâchement déléguer ce pouvoir à l’OMS (voir mes deux articles précédents). Néanmoins, quelques parlementaires de divers pays se sont élevés contre cette idée. Je n’ai certainement pas trouvé tous les cas de désaccord à travers le monde mais voici ceux qui apparaissent le plus facilement dans les recherches.

Une Conférence de presse au parlement européen, après le 3e ICS

Le discours de la sénatrice anglaise Esther McVey

Le discours du sénateur anglais Andrew Bridgen

Encore une fois, on ne voit que des représentants de droite ou d’extrême droite. Et c’est regrettable, car le message devrait vraiment être entendu, toute idéologie partisane mise à part.

Je trouve ça éminemment triste.

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Pour finir, comme annoncé plus haut, voici quelques études scientifiques concernant les deux médicaments qui ont subi tant de polémique durant cette crise de la COVID-19. Ces études proviennent du site scientifique reprenant la littérature biomédicale et des sciences de la vie, PUBMED.

NB: il faut savoir que la date de publication implique que les études ont été commencées beaucoup plus tôt, ce qui laisse supposer que ces médicaments étaient déjà supposés utiles ! Alors, regardez bien les dates mentionnées.

Concernant l’efficacité de la chloroquine ou l’hydroxychloroquine

août 2005: « Chloroquine is a potent inhibitor of SARS coronavirus infection and
spread »

décembre 2019: « A retrospective analysis of the effect of the intervention of Arogya Kashayam in COVID-19 positive cases in Madhya Pradesh »

Voici aussi un excellent article du Professeur Robert Clancy « La curieuse histoire de l’hydroxychloroquine », en date du 31 mai 2023. Avec la présentation sur Youtube lors d’un entretien avec le Dr John Campbell.

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Concernant l’efficacité de l’ivermectine

février 2021: « A five-day course of ivermectin for the treatment of COVID-19 may reduce the duration of illness »

septembre 2020: « Ivermectin: a systematic review from antiviral effects to COVID-19 complementary regimen »

juin 2021, « Ivermectin for Prevention and Treatment of COVID-19 Infection: A Systematic Review, Meta-analysis, and Trial Sequential Analysis to Inform Clinical Guidelines »

En allant voir sur PUBMED le nombre de publications liées à ces deux médicaments, il est clair qu’ils étaient probablement intéressants dès le début, en tout cas pour les scientifiques et les médecins. Certainement pas pour les sociétés pharmaceutiques. Car pas de mise sur le marché en urgence de vaccins expérimentaux s’il existe déjà des possibilités de soigner !!

Le monde s’éveille à propos de l’OMS

Je ne suis pas isolée dans ma grande peur de la façon de l’OMS risque bien de prendre les rênes sur la gestion de la santé mondiale (voir mes pétitions sur Change.org ou Avaaz). Au Royaume Uni, des Parlementaires courageux ont tiré la sonnette d’alarme, et au Parlement Européen également. Au point que même le Journal « The Telegraph », très peu hors des clous et certainement pas « complotiste », exprime cette angoise.

Et aussi:

Une pétition au Royaume uni

Des questions en Australie

Demande de débat au Parlement du Royaume Uni

Réaction du Dr John Campbell

Rappel pressant de mise en garde concernant les amendements aux RSI (Dr J. Campbell et J.Roguski)

NON à l’Accord pandémie de l’OMS

Ce texte fait l’objet d’une pétition, publiée sur change.org ET sur Avaaz. Et il est urgent de les signer !

IL FAUT SAVOIR QUE:

1. L’OMS est financée à 80% par des sources « volontaires », parmi lesquelles la fondation Bill Gates ou la société pharmaceutique GAVI.
2. Il s’agit, de plus, d’un organe supranational, non élu et non responsable: ses employés sont exonérés d’impôt, et eux et leurs familles bénéficient tous de l’immunité diplomatique.
3. Actuellement, les propositions de l’OMS sont non contraignantes, mais elles vont le devenir.

ACCEPTERONS-NOUS D’ÊTRE GOUVERNÉS PAR DES BUREAUCRATES NON ÉLUS À LA SOLDE D’INTÉRÊTS ÉTRANGERS ?

NON à l'accord pandémie de l'OMS

Il faut demander des explications et des éclaircissements à nos parlementaires, il ne faut pas rester muet, sinon ils risquent bien d’accepter cet accord aveuglément.

L’OMS, avec l’agrément des États membres, a convenu d’élaborer un avant-projet d’accord juridiquement contraignant sur la pandémie pour le courant 2024. Cet accord, allant de pair avec un certains nombres d’amendements des règles originales de l’OMS, signerait la mort de l’indépendance des États à décider, démocratiquement, du meilleur moyen de soigner leur population. Les deux instruments, l’accord pandémie et les modifications du règlement sanitaire international, progressent en parallèle. Ce sont un ensemble de clauses juridiquement contraignantes pour toutes les nations. Elles s’appuient sur l’idée appelée « Une Santé » (« One Health »), qui donne le pouvoir au directeur général de l’OMS de décider d’une urgence de santé publique de portée internationale, en cas de suspicion ou de risque d’incident international quel qu’il soit. C’est une extension énorme de ses pouvoirs de décider quand la pandémie ou l’urgence commence et quand elle se termine. Pendant la pandémie de COVID-19, l’OMS s’est déjà octroyé le pouvoir de définir la « bonne » information. Elle a pris ce pouvoir de définir ce qu’était la désinformation, ce que disait « la Science ». Quand on vous dicte ce que la Science propose comme seule réponse immuable à n’importe quelle question, il y a clairement anguille sous roche. Car la science n’est jamais figée : elle est toujours ouverte aux modifications et aux nouveautés à découvrir, aux thèses à affiner. Par ce futur Accord, l’OMS va, aussi, devenir l’arbitre de ce qu’est la Science. Est-ce vraiment ça que les États veulent?

Un mot sur seulement deux amendements (allez voir le reste)
Ils sont disponibles à l’URL https://apps.who.int/gb/wgihr/
Dans l’Article 1, l’expression « sans engagement » (« non-binding ») est supprimée partout, ce qui laisse présager d’un engagement de la part des États à se conformer à ces règles.
Dans l’Article 3, « dans le plein respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes » est supprimé et remplacé par « sur la base des principes d’équité, d’inclusivité, de cohérence … ». Peut-on imaginer que l’équité soit équivalente au respect de la dignité. L’équité risque bien de signifier « la même chose pour tout le monde », ce qui est loin du respect de la différence.

Fondée en 1948 en tant qu’agence spécialisée des Nations Unies chargée de la santé publique internationale, elle se compose de 194 États membres, essentiellement l’ensemble des membres de l’ONU à l’exclusion du Lichtenstein et du Saint-Siège. Les idéaux originaux de l’OMS étaient tout à fait louables : elle était au service de la santé du peuple, gouvernée par ses États membres, qui mettront en œuvre une politique de santé dans l’intérêt de leur peuple. Elle était basée sur un Règlement Sanitaire International (en anglais, International Health Regulations ou IHR), toujours d’application aujourd’hui, mais qui sera fondamentalement modifié par les deux instruments qui sont en préparation suite à la pandémie de COVID-19.
L’OMS est domiciliée à Genève et bénéficie donc d’un statut particulier. Ses employés sont exonérés d’impôt, et eux et leurs familles bénéficient tous de l’immunité diplomatique, donc une très bonne protection contre toute poursuite à leur encontre. Il s’agit, de plus, d’un organe supranational, non élu et non responsable. Je pense que ça fait peur si on lui donne un pouvoir quelconque.

Qui finance l’OMS ?

L’OMS n’est plus du tout financée majoritairement par ses États membres, ceux qu’elle cherche à conseiller ( ou contrôler). Elle est financée à plus de 80% par des sources « volontaires ». Les pays membres paient ce qu’on appelle des «contributions statutaires», un pourcentage du PIB d’un pays convenu tous les deux ans lors de l’Assemblée mondiale de la santé. Habituellement, ces sommes couvrent moins de 20 % du budget total de l’OMS. Cela signifie que plus de 80 % du financement de l’OMS reposent sur des « contributions volontaires », c’est-à-dire toute somme d’argent donnée librement par des donateurs, qu’il s’agisse d’États membres, d’ONG, d’organisations philanthropiques ou d‘autres entités privées (http://open.who.int/2020-21/contributors/contributor). Ces contributions volontaires sont généralement affectées à des projets ou à des maladies spécifiques, ce qui signifie que l’OMS ne peut pas décider librement comment les utiliser. « Actuellement, l’OMS n’a le contrôle total que sur environ un quart de son budget », a déclaré Lawrence Gostin, du Global Health Institute. « L’OMS ne peut donc pas définir l’agenda mondial de la santé et a dû répondre aux enchères de riches donateurs, non seulement des nations riches d’Europe et d’Amérique du Nord, mais aussi de riches philanthropies telles que la Fondation Gates ». Au cours des années 2020-2021 (on n’a pas les résultats pour 2022), le deuxième plus grand donateur, après l’Allemagne, est la Fondation Bill et Melinda Gates, et le cinquième est Gavi Alliance. Alors pourquoi font-ils cela ? Ils sont de gros investisseurs dans les produits pharmaceutiques et la technologie expérimentale de l’ARNm qui s’est avérée si rentable pour ceux qui l’ont proposée et produite lors de la dernière pandémie.
Il est clair qu’il y a une forte influence extérieure sur la politique de l’OMS, une entité dont les amendements au Règlement sanitaire international et au traité sur la pandémie seront adoptés d’ici mai 2024 si les États ne font rien et laissent faire.